C'est la pourriture des plus gros, qui sent le plus mauvais.
C'est la première impression qui compte.
C'est la profonde ignorance qui inspire le ton dogmatique.
C'est là que gît le lièvre.
C'est là que la jeunesse, qui n'a pas besoin de ces vains atours et n'y songe même pas, vient gaspiller sa fraîcheur véritable, sa santé, sa beauté virginale, dans l'atmosphère malsaine d'une foule échauffée par l'ardeur du plaisir. Lord Byron, 1788-1824
C'est la que les chats se peignent.
C'est la queue qui fait l'oiseau.
C'est la raison qui met la paix dans un ménage. Antoine Bret, 1717-1792
C'est la reine d' Antioche qui mange plus de pain que de brioche.
C'est la robe qu'on salue.
C'est la roue disloquée qui siffle.
C'est la torrée qui se fout de la fumée.
C'est la vertu qui la personne sublime illustre et bien l'adorne.
C'est là, le hic.
C'est lâche de trop se préoccuper de l'opinion, c'est fou de se boucher les oreilles pour ne pas l'entendre; se moquer d'elle en faisant son devoir. Anne Barratin, 1845-1911
C'est le bois qu'on ébranche, qui croit le plus épais.
C'est le bon faucheur qui fait la bonne faux.
C'est le bon sens maintenant qui nous surprend, ce brave bourgeois qui n'avait jamais étonné personne. Anne Barratin, 1845-1911
C'est le bon veneur qui fait la bonne meute.
C'est le bouquet !
C'est le cadet de mes soucis. info] C'est le moindre de mes soucis.
C'est le chat qui brise toutes les écuelles.
C'est le chaudron qui voudrait noircir la casserole.
C'est le cheval de Pacolet.
C'est le chien de Jean de Nivelle (qui s'enfuit quand on l'appelle).
C'est le coeur qu'on tend souvent au collier, et pas toujours le cou. Anne Barratin, 1845-1911
C'est le commencement de la fin.
C'est le corbeau qui voudrait noircir l'agace.
C'est le couteau de saint Hubert. (S'employait autrefois en parlant d'une chose réputée toujours la même, quoiqu'elle eût subi des changements qui ne lui avaient rien laissé des éléments primitifs dont elle était (...).)
C'est le couteau de saint Hubert. info] S'employait autrefois en parlant d'une chose réputée toujours la même, quoiqu'elle eût subi des changements qui ne lui avaient rien laissé des éléments primitifs dont elle était.
c'est le dernier cri.
C'est le devoir d'un roi de punir l'artifice. Hippolyte Bis, 1789-1855
C'est le diable qui bat sa femme et qui marie sa fille.
C'est le Diable qui parle les manuscrits ne brûlent pas ! Mikhaïl Boulgakov, 1891-1940
C'est le droit du jeu.
C'est le fils de la poule blanche. info] Celui qui est extrêmement heureux en toutes choses.
C'est le jour et la nuit.
C'est le Juif errant.
C'est le mariage de Saint sauveur la putain qui épouse le voleur.
C'est le meilleur de suivre Socrates.
C'est le mendiant qui se moque du porteur de bissac.
C'est le paneton qui voudrait imiter le panier.
C'est le plus fort à écorcher que la queue.
C'est le plus fort que d'écorcher la queue.
C'est le plus profond enchantement du collectionneur que d'enclore l'exemplaire dans un cercle envoûté où, parcouru de l'ultime frisson, celui d'avoir été acquis, il se pétrifie. Tout ce qui relève là de la mémoire, de la pensée, de la conscience, devient socle, cadre, reposoir, fermoir de sa possession. L'époque, le paysage, l'artisanat, le propriétaire dont provient ledit exemplaire, tout cela se rassemble aux yeux du vrai collectionneur en chacune de ses possessions, pour composer une encyclopédie magique dont la quintessence n'est autre que le destin de son projet. Walter Benjamin, 1892-1940
C'est le plus vieux poêle qui chauffe le plus fort.
C'est le point saillant (o. dècisif).
C'est le poisson qu'on ne saurait prendre, qu'on aime le mieux.
C'est le pont aux Anes. (Une chose facile à exécuter, qu'il n'est pas permis d'ignorer, ou dans laquelle tout le monde peut réussir.)